Intranet Sith
L’ordre impérial repose sur l’obéissance éclairée, la discipline juste, et le commandement compétent. Le Codex Martialis est le fondement légal régissant la conduite des forces armées, dans le respect des principes de l'Empire Sith : puissance, contrôle, lucidité.
La Zone Militaire Sécurisée (ZMS) est désignée comme le périmètre d'application renforcée de ce Codex. Toute infraction y subit une intensification des sanctions. En ZMS, la chaîne de commandement est resserrée, les surveillances sont permanentes, et les exemptions tactiques sont suspendues. Nul n’y est au-dessus de la rigueur impériale.
Sous-Divisions de la ZMS
1. Les Geôles
Zone d'incarcération renforcée, dotée de systèmes de répression.
Membres autorisés
Membre de la PM, Membre des Délits Militaires, Haut Commandement du Ministère de la Guerre, Officiers, Officier de la flotte.
Membre autorisé sous permission
Sorcier (pour interrogatoire), Membre du Ministère des Armées (pour surveillance de prise de guerre),
Mauraudeur (pour s'occuper de leur prise)
Personnel pouvant donner des autorisations sans justificatif
Haut Commandement du ministère de la Guerre, Lieutenant-Commandant de la flotte et plus, Officiers Suprême.
2. Etage Supérieur
Zones de repos et d’organisation des troupes.
Membre autorisés
Membre de la PM, Officier, Haut Commandement du Ministère de la Guerre, Officier de la Flotte
Membre autorisé sous permission exceptionnel
Membre du Ministère de la Guerre ( Pour se rendre au ministère de la guerre ou salle de Stockage), Soldats de l'empire (Pour un entraînement au CQB avec supervision d'un Sous-Officier)
Personnel pouvant donner des autorisations sans justificatif
Haut Commandement du ministère de la guerre, Lieutenant-Commandant de la flotte et plus, Officier Suprême,
Officier (seulement pour se rendre aux bureaux des quartiers officiers)
3. Le Pont de Commandement
Interface stratégique des opérations, nœud de la surveillance tactique.
Personnel autorisé
Haut Commandement du ministère de la guerre, Officier Suprême, Membre de la PM à partir d'inspecteur général, Officiers de la flotte.
Membre autorisé sous permission
Membre du délit et de la PM (en cas d'infraction de la ZMS)
Personnel pouvant donner des autorisations sans justificatif
Lieutenant-Commandant de la flotte et plus, Haut Commandement du ministère de la guerre, Officier Suprême.
Tout déplacement non autorisé entre ces sous-secteurs est considéré comme une violation de sécurité stratégique et entraîne des sanctions immédiates, notamment en cas d’intrusion dans les geôles.
Article I.1
Le commandement ne saurait exister sans responsabilité.
Article I.2
Aucune exécution sommaire d’un soldat ne peut avoir lieu sans motif stratégique documenté.
Article I.3
L’abus de commandement est passible de révocation, châtiment ou élimination rituelle selon les cas.
Article I.4
Tout soldat loyal servant selon son rang bénéficie de la Protection Impériale de Fonction, empêchant les châtiments arbitraires.
Article II.1
La discipline est vitale, mais la brutalité gratuite affaiblit l’Empire.
Article II.2
Toute opération ayant entraîné des pertes substantielles sans gains stratégiques tangibles est soumise à enquête.
Article II.3
Trois campagnes infructueuses et coûteuses constituent une preuve d’inaptitude tactique grave.
Article II.4
Le sang impérial ne se gaspille pas pour nourrir l’ego.
Article II.5
En ZMS, toute opération nécessite un rapport prévisionnel détaillé, validé par la Sphère des Délits Militaires.
Article III.1
La diffusion d’informations fausses ou non vérifiées à un commandement supérieur est un acte de trahison technique.
Article III.2
Toute manipulation de rapport visant à masquer l’échec ou à s’attribuer un mérite fictif sera punie sans appel.
Article III.3
La victoire autorise le mensonge. L’échec le condamne deux fois.
Article IV.1
Un commandant est tenu de justifier chaque perte, même par le silence.
Article IV.2
Le rang est prêté par l’Empire ; il ne devient légitime que par la victoire.
Article IV.3
Le refus d’adapter sa stratégie est assimilé à du sabotage impérial.
Article IV.4
Le coût d’un ordre mal formulé se paie en sang et en chaîne.
Article IV.5
En ZMS, le Haut Commandement peut intervenir sans préavis en cas d'échec répété.
Article V.1
La Sphère des Délits Militaires dispose de ses propres juridictions.
Article V.2
Tout soldat peut porter plainte via canal protégé ; les représailles sont passibles de mort.
Article V.3
Le jugement par duel est autorisé entre membres de l'Ordre Sith selon la gravité.
Article V.4
Tout jugement peut être rendu publiquement ou secrètement, selon l’intérêt stratégique.
Article V.5
En ZMS, les procédures judiciaires sont accélérées et exécutées sur place.
Article VI.1
Le refus d’exécuter un ordre direct est un crime contre la discipline impériale.
Article VI.2
L’ordre peut être contesté seulement via les voies hiérarchiques prévues, après exécution si la situation tactique le permet.
Article VI.3
La désertion en temps de guerre ou en ZMS est passible de mort immédiate ou de récupération suivie de réintégration forcée dans les unités pénales.
Article VI.4
Toute assistance à un déserteur est considérée comme trahison militaire.
Article VII.1
L’usage des fréquences militaires est strictement réservé aux communications stratégiques et tactiques.
Article VII.2
Tout message non essentiel transmis en opération est considéré comme mise en danger opérationnelle.
Article VII.3
La divulgation d’informations sensibles par fréquence non protégée est considérée comme haute trahison.
Article VII.4
La connexion à la fréquence 0 est obligatoire en mode passif pour tous. Toutefois, seuls le Commandement du Ministère de la Guerre ou le Conseil Noir sont autorisés à émettre des communications sur cette fréquence.
Article VII.5
L’utilisation non autorisée des fréquences impériales, ou la tentative de brouillage ou d'interception, est considérée comme une tentative de sabotage impérial.
Article VII.6
En ZMS, toute interférence, brouillage ou usage non autorisé des communications est passible de suppression physique sans avertissement.
Article VIII.1
La chaîne de commandement est sacrée. Sa disruption est considérée comme acte de sabotage impérial.
Article VIII.2
Tout complot, même verbal, contre un supérieur direct est jugé au titre de rébellion militaire.
Article VIII.3
Le commandement d'une opération ne peut être modifié que par ordre officiel émanant d'un Dirigeant, d'un Ministre, ou d'un Co-Dirigeant du Ministère de la Guerre. Tout changement non validé est nul et constitue une tentative de subversion.
Article VIII.4
En cas de perte ou d'incapacité d'un commandant, la succession est automatique selon le protocole impérial ; tout refus ou obstruction est considéré comme insubordination majeure.
Article VIII.5
En ZMS, toute tentative d’assassinat, d'empoisonnement, ou de subversion d'un officier supérieur entraîne la peine capitale sans délai d'appel.
Article IX.1
L'usage d'un nom de code opérationnel est obligatoire pour toute opération, toute patrouille en ZMS, et toute intervention stratégique.
Article IX.1.1
Les noms de code doivent être validé selon le Protocole de Codification Impérial du Ministère de la Guerre.
Article IX.2
La divulgation non autorisée de l'identité réelle d'un agent, d'un officier ou d'un membre du commandement est un acte de trahison technique.
Article IX.3
Les noms de code sont attribués par le Commandement d'Opération ou la Direction du Ministère de la Guerre ; tout changement non validé est interdit.
Article IX.4
La perte volontaire de son anonymat en opération est passible de sanctions sévères, pouvant aller jusqu'à la destitution ou la radiation.
Article IX.4.1
Un Ambassadeur ou Diplomate validé est autorisé à enfreindre l'article IX.4
Article IX.5
Le respect de la confidentialité impériale est absolu ; sa violation expose à des enquêtes immédiates par la Sphère des Délits Militaires.
Article X.1
Tout traité, accord ou cessez-le-feu conclu au nom de l'Empire Sith est placé sous la garde exclusive du Ministère de la Guerre, du Ministère de la Diplomatie, ainsi que du Conseil Noir.
Article X.2
Aucun commandant, officier, soldat ou agent n’est autorisé à rompre, modifier ou renier un accord diplomatique sans ordre exprès émanant de la Direction du Ministère de la Diplomatie, ou du Conseil Noir.
Article X.3
La violation non autorisée d’un traité est considérée comme un acte de haute trahison stratégique. Ce délit expose son auteur à une rétribution immédiate par le Tribunal Sith ou, selon les circonstances, à l'exécution physique sans appel.
Article X.4
Toute provocation volontaire destinée à forcer la rupture d’un traité, ou à manipuler des négociations diplomatiques à des fins personnelles ou militaires, sera jugée comme subversion impériale. L'usage de ces tactiques sans autorisation est passible de sanctions sévères.
Article X.5
Les diplomates et les agents de la Sphère de la Diplomatie sont seuls habilités à engager des négociations officielles. Ils rendent des comptes directement au Ministère de la Diplomatie, mais leurs actions sont toujours validées par le Ministère de la Guerre lorsque des enjeux stratégiques sont en jeu.
Article X.5.1
En cas d'absence d'un agent de la Sphère de la Diplomatie, un négociateur est sélectionner parmi les agents sur le terrain. Il devra par la suite rendre des comptes à la Sphère de la Diplomatie.
Article X.6
En Zone Militaire Sécurisée (ZMS), toute initiative diplomatique ou décision relative à des traités externes est strictement interdite en dehors des canaux et autorisations officielles. Toute tentative de manœuvre indépendante est une infraction grave.
Ce Codex n’a pas pour but d’affaiblir l’autorité, mais de la purifier. Le pouvoir mal utilisé est une faiblesse.
L’Empire Sith triomphe lorsque ses commandants agissent avec efficacité, et ses troupes avec confiance.
Ce Manifeste est votre glaive, mais aussi votre bouclier.
“Le pouvoir est l’arme de la raison. La force sans discipline n’est que sauvagerie.”
— Darth Mewan Atmena, Primarque Noir de la Sphère des Délits Militaires
Codex Martialis Impérial, édition 14-B
Sphère des Délits Militaires — Archives de Dromund Kaas
Enregistré au Centre de Commandement Stratégique, Niveaux 1 à 4.